L’île d’Ortigia est le magnifique centre historique de Syracuse. Si vous envisagez de la visiter, vous vous demandez peut-être ce qu’il faut absolument voir. Répondre à cette question est vraiment difficile car il y a tellement de choses à voir à Ortigia que l’île est un véritable musée à ciel ouvert. Mais imaginons que vous n’ayez qu’une journée pour visiter Syracuse et que nous soyons « obligés » de nous limiter aux « principales attractions », qui sont pourtant nombreuses.
Que voir à Ortigia ?
Comme je vous l’ai dit, Ortigia est un musée à ciel ouvert et vous vous en rendrez compte dès que vous traverserez le pont historique d’Umbertino qui relie la ville à l’île. Si vous manquez de temps, vous pouvez louer une bicyclette et explorer tout le périmètre d’Ortigia en un peu plus de 20 minutes.
Une fois sur l’île, la première chose à voir est la cathédrale d’Ortigia avec sa magnifique place entourée de monuments et d’églises baroques, puis je vous recommande de visiter la mythique source d’Arethusa et le château de Maniace. Ce petit « tour » vous prendra environ trois heures et, en cours de route, vous verrez d’autres monuments fascinants et des aperçus d’une rare beauté.
S’il vous reste du temps, je vous recommande de visiter le front de mer « Marina » et le quartier historique de la Giudecca, dont les célèbres bains juifs sont encore intacts.
Si vous voulez jouer la carte de la sécurité, je vous recommande de réserver une visite guidée d’Ortigia et de ne pas manquer la visite en bateau d’Ortigia pour admirer l’île depuis la mer, visiter les grottes marines et, en été, vous baigner dans les eaux cristallines.
Informations utiles
Si vous cherchez une liste complète des principales attractions touristiques, vous pouvez également consulter ce lien Google ou l’itinéraire complet d’Ortigia sur le site de la municipalité. Si, en revanche, vous avez besoin d’une carte de Syracuse et d’Ortigia, vous pouvez la télécharger au format pdf en cliquant sur ce lien https://www.siracusaturismo.net/public/cartina_siracusa_1-1.pdf.
